Aaliyah : Destin brisé
Après une apparition remarquée dans un concours de chant télévisé, Aaliyah, âgée de seulement onze ans, se produit à Las Vegas aux côtés de sa tante, Gladys Knight, la célèbre légende de la soul.
Deux ans plus tard, elle signe son premier contrat d'enregistrement avec le label Blackground records que dirige son oncle. Celui-ci la présente à R Kelly qui va composer et produire son premier album. Sorti en 1994 "Age ain't nothing but a number" devient rapidement disque de platine et marque le début de la carrière fulgurante de la jeune chanteuse. Outre leur collaboration artistique et malgré leur différence d'âge, Aaliyah et R Kelly entretiennent une relation sentimentale qui les conduira à se marier en catimini. Leur union sera néanmoins de courte durée. Sous la pression de leur entourage, le mariage est annulé et les deux ex-époux rompent tout contact.
Aaliyah part ensuite pour une tournée mondiale et enregistre à son retour un deuxième album intitulé "One in a million" avec la participation de deux futures stars du milieu du hip-hop, Timbaland et Missy Elliot. Cette fois encore, l'album est disque de platine.
Forte de son succès, Aaliyah décide de se lancer dans le cinéma et fait des débuts prometteurs dans "Roméo doit mourir".
En 2001, alors qu'elle revient des Bahamas où elle est partie tourner le clip de "Rock the boat" premier single de troisième album, elle meurt tragiquement dans un accident d'avion.
Vidéos similaires
1h20
1h22
4m02
EXTRACT - Jeudi 19/01/23 - 20:00La Brigade : de Shakira à Miley Cyrus, le phénomène musical des “revenge songs”Quotidien
4m23
EXTRACT - Vendredi 09/12/22 - 19:55La Brigade : un géant du dessin, un livre de Noël pour enfant et l’un des meilleurs disques de tous les tempsQuotidien
1h22
11m
1h21
6m
EXTRACT - Vendredi 06/01/23 - 19:55La Brigade : "Trois femmes disparaissent”, enquête sur une génération de stars hollywoodiennes mauditesQuotidien
4m35
EXTRACT - Vendredi 21/10/22 - 19:48La Brigade spéciale reco du week-end : le retour de Lucky Luke, l’album de Loyle Carner et deux films inratablesQuotidien