La semaine de Clément Viktorovitch : pourquoi les arguments de Stanislas Guerini pour défendre Jérôme Peyrat n’ont pas fonctionné ?
À moins d’un mois des élections législatives, Clément Viktorovitch décrypte les mots de l’actualité et analyse les discours de nos politiques. Le politologue se concentre, ce vendredi 20 mai, sur les propos de Stanislas Guerini pour défendre Jerôme Peyrat, condamné en 2020 pour violences conjugales et candidat LREM aux législatives. Les arguments du chef du parti présidentiel, qui tentait de défendre le candidat, ont finalement obligé ce dernier à se retirer. Sur le plateau de Quotidien, notre spécialiste de la rhétorique analyse cette prise de parole ratée de Stanislas Guerini. Hier, les porte-parole de la NUPES ont présenté leur programme. Ils ont détaillé leurs points de convergence mais aussi leurs quelques « nuances ». Celles-ci portent à la fois sur le nucléaire, sur la question de l’OTAN ou sur l’Europe. Des « nuances » qui, en d’autres temps, auraient été appelées des désaccords. En parlant de « nuances », les représentants de la NUPES ont utilisé une substitution connotative. Une technique rhétorique classique pour atténuer les difficultés posées dans la réalité comme nous l’explique, ce vendredi, Clément Viktorovitch. Samedi dernier, un homme à ouvert le feu dans un supermarché d’un quartier afro-américain de la ville de Buffalo aux Etats-Unis. Le tueur, Payton Gendron, se réclame de la théorie du grand remplacement, un concept régulièrement mis en avant par Éric Zemmour lors de sa campagne. Cette semaine sur RTL, l’ancien candidat de Reconquête! a donné son avis sur cette actualité. Une réponse sur laquelle revient Clément Viktorovitch dans sa chronique.

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