La Zone Mazaurette : des réfugiées ukrainiennes contraintes de retourner en Ukraine pour avorter

Depuis l’invasion russe en Ukraine, 8 millions de femmes ont quitté le pays. Certaines sont tombées enceinte, d’autres l’étaient déjà mais ne souhaitent pas garder le fœtus et d’autres ont été violées par des soldats russes. Ces réfugiées ont le plus grand mal à avorter notamment en Pologne, en Hongrie, en Slovaquie et en Roumanie où les droits à l’avortement sont défaillants. Certaines Ukrainiennes choisissent donc de retourner en Ukraine où leur sécurité n’est pas assurée. L’Arcom a publié un rapport révélant que parmi les jeunes entre 10 et 17 ans qui regardent de la pornographie chaque mois, 48% sont des garçons et 22% sont des filles. De plus, les garçons passent beaucoup plus de temps devant ces contenus que les filles. Les garçons regardent plus de porno car ce sont des vidéos fabriquées, pour la plupart, par des hommes, pour des hommes. Ainsi, les actrices de ces films ne ressemblent pas aux filles que l’on croise dans la rue, elles s’adonnent à des pratiques que la plupart des femmes n’accepteraient pas de faire et elles crient beaucoup. Par conséquent, les filles ne se reconnaissent pas dans le porno et en regardent beaucoup moins. Un rapport Ipsos révèle que 16% des jeunes de la génération Z (les moins de 25 ans) se décrivent comme gay, bisexuel, pansexuel, omnisexuel ou asexuel. Chez les baby-boomers, les non-hétéros ne sont que 4%.
3m53
Dispo + 30j

Quotidien

Quotidien

Vidéos similaires

4m43
EXTRACT -
La zone Mazaurette : « Les Dieux du Stade » en fin de parcoursQuotidien
2m38
3m08
EXTRACT -
La Zone Mazaurette : Tinder quitte la RussieQuotidien
36m
REPLAY -
Désir : Ce que veulent les hommes - Partie 1Désir : au coeur du sexe féminin
58m
REPLAY -
Désir : Ce que veulent les hommes - Partie 2Désir : au coeur du sexe féminin
5m
EXTRACT -
La Zone Mazaurette : l’explosion des deepfakes pornographiquesQuotidien
1m40
EXTRACT -
Féminicides : pourquoi rien ne change ?Journal de 20 heures
1m37
EXTRACT -
La nudité est-elle forcément sexuelle ?Quotidien