Vincent Moscato

«Avec moi, c’est «Danse avec les sangliers» !»
Pourquoi avez-vous accepté de participer à «Danse avec
les stars» ?
Tenter l’expérience m’intéressait. C’est assez décalé par rapport à tout ce que
j’ai fait jusqu’à présent. Danser, c’est comme chanter : l’expression du cœur
et du charme. Ne sachant pas danser du tout, je me suis dit : Pourquoi pas ?
J’ai plus de 50 ans et l’idée de me prendre pour John Travolta dans Saturday
Night Fever est séduisante ! Rugbyman et boxeur, je vais faire le grand écart
en m’essayant à une discipline extraterrestre !
Quels sont vos atouts pour gagner ?
Je suis endurant, patient et assez discipliné. J’ai quand même fait un peu de
sport auparavant et je connais le prix de l’effort physique, c’est un atout. Je
m’entraîne trois à quatre fois par semaine, pratique la boxe et beaucoup de
vélo. L’idée de la chorégraphie me plaît car elle répond à un enchaînement de
combinaisons. Il faut de la mémoire du coup c’est un peu stratégique,
technique. Le geste en lui-même est un défi. On a beau peindre un âne avec des
rayures, il ira toujours moins vite qu’un zèbre. Je suis souple comme une
chaussure de ski et je ne ferai jamais le grand écart !
Qu’attendez-vous de votre partenaire ?
Je souhaite qu’elle m’apprenne à bien danser. Excepté avec ma femme, je ne
pense pas être pénible. Ma coach va avoir beaucoup de travail mais elle est
peut-être habituée à faire aussi danser des cancres. Mes proches pleurent déjà
de rire ! C’est déjà ça de gagné !