Dieux du Stade : une femme s'invite dans le calendrier

Comme chaque année depuis 2001, plusieurs sportifs font tomber la chemise pour s'afficher en tenue d'Adam dans un calendrier sensuel et élégant. Pour l'édition 2013, une femme fait son apparition au milieu de ces mâles.
Le calendrier des Dieux du Stade est connu pour être chargé en testostérones. Mais l'édition 2013, disponible à partir du 4 octobre 2012, marque un tournant dans l'histoire de ce projet né en 2001. Une femme s'est mêlée à ces messieurs issus de disciplines diverses et variées. En effet, l'ancienne danseuse du Crazy Horse Sophie Hélard côtoie aussi bien des joueurs de rugby, des boxeurs, des hockeyeurs, des nageurs que des judokas.
François Rousseau, le photographe à qui l'on doit les exemplaires de 2004, 2011 et 2012, s'est entretenu avec le quotidien Le Parisien au sujet de cette nouveauté. "C'est la suite du calendrier 2012 qui évoquait l'apocalypse. Pour moi, la présence d'une femme sonnait comme une évidence", a-t-il déclaré. Et de préciser : "Quand la jeune femme surgit du lac, c'est un instant doux et pas du tout graveleux."
Car, François Rousseau a conscience que dans le passé, le calendrier des Dieux du Stade a pu être provoquant. "C'était presque pornographique, dit-il. Là, ce n'est pas du tout l'esprit. Il y a un aspect cinématographique, pas de pose langoureuse et la nudité des corps est justifiée par l'action."
François Rousseau, le photographe à qui l'on doit les exemplaires de 2004, 2011 et 2012, s'est entretenu avec le quotidien Le Parisien au sujet de cette nouveauté. "C'est la suite du calendrier 2012 qui évoquait l'apocalypse. Pour moi, la présence d'une femme sonnait comme une évidence", a-t-il déclaré. Et de préciser : "Quand la jeune femme surgit du lac, c'est un instant doux et pas du tout graveleux."
Car, François Rousseau a conscience que dans le passé, le calendrier des Dieux du Stade a pu être provoquant. "C'était presque pornographique, dit-il. Là, ce n'est pas du tout l'esprit. Il y a un aspect cinématographique, pas de pose langoureuse et la nudité des corps est justifiée par l'action."