Samedi dans 50 mn inside, on revient sur une icône de la musique française : Michel Polnareff. L’artiste sort un nouvel album, entouré de toute la provoc qu’on lui connaît.
Au-delà de l’immense artiste, Michel Polnareff est avant
tout un roi de la provoc en tout genre. À l’occasion de son sujet consacré dans
50 mn inside, on revient sur certains faits d’armes de l’Amiral.
Son cul sur l’affiche
En 1972, celui qui a connu le succès avec « La poupée qui fait non »s’apprête à conquérir l’Olympia. Pour promouvoir son concert, il ose tout et publie des affiches de lui, de dos, exhibant son postérieur nu. Un coup marketing qui lui vaudra une amende pour attentat à la pudeur.
L’exil américain
Criblé de dettes après une escroquerie, Polnareff doit un million de francs à l’État et, ne pouvant payer, il décide de fuir aux États-Unis en octobre 1974. Il revient quatre ans plus tard pour clamer son innocence mais la sentence tombe : six mois de prison avec sursis et 5000 francs d’amende.
Le show de l’Amiral
Absent des ondes depuis six ans, le chanteur renaît dans le désert californien. Il y accorde une interview exclusive précédée d’une course-poursuite digne des grands shows américains. L’art de la démesure.
Papaoutai
En 2010, la vie personnelle de l’artiste est chamboulée. Il annonce la naissance de son premier enfant à grands renforts médiatiques. Mais quelques semaines plus tard, on apprend que le « PolnaBB » n’est pas de lui. Là encore, l’homme aux lunettes noires rebondit dans la presse. Un génie de la communication.
Le plein de Spèrme
Le 24 mars dernier, Michel Polnareff sortait sa première autobiographie, « sobrement » intitulé Spèrme pour faire une contraction avec « Père ». Le titre choque, à dessein. Ultime coup d’éclat avant la sortie de son album en avril.