Après des années de grandes difficultés financières, l’écurie Sauber est officiellement rachetée.
History was made today! A very special team meeting in Hinwil. #JoinOurPassion #F1 pic.twitter.com/Zl0O1MBXjg
dash; Sauber F1 Team (@SauberF1Team) 20 juillet 2016
En parallèle, Peter Sauber, qui revend officiellement ses parts dans l’écurie, quitte ainsi la Formule 1 et son aventure vieille de 23 ans, laissant son poste de président à Patrick Picci.
"Je suis très heureux que mon courageux investissement de rachat de l’écurie, que j’ai opéré il y a 6 ans, avec l’intention de sécuriser le fief de Hinwil et de rester en Formule 1, se soit révélé correct", a confié l'ex-dirigeant suisse.
Zoals het ooit begon voor Sauber F1 in 1993
dash; RTL GP Magazine (@RTLGPMagazine) 20 avril 2016
De teamleden rondom de sponsorloze C12 waarin Karl Wendlinger zit pic.twitter.com/N9VOzodq39
Puis vint l’ère Sauber-Petronas en 1997, jusqu’à une belle 4ème position au classement en 2001 grâce au solide Heinz-Harald Frentzen et à un certain débutant Kimi Räikkönen. En 2006, le rachat par BMW donne la plus belle époque, Sauber devenant vice-championne en 2007 sous l’impulsion de Nick Heidfeld et Robert Kubica, pendant qu’un nouveau, Sebastian Vettel, remplaçait à Monaco ce dernier, blessé dans un effroyable accident au Grand Prix du Canada. Mais le Polonais se vengera et signera la seule victoire de l’écurie sur ce même circuit l’an suivant.
Robert Kubica offre la seule victoire de (BMW) Sauber le 8 juillet 2008 au GP du Canada
En 2010, Peter Sauber poursuit seul, BMW lui vendant ses parts, et obtient le moteur Ferrari. Mais d’année en année, les performances déclinent, avec une petit lueur en 2012 (4 podiums via Segio Pérez et Kamui Kobayashi), Sauber affichant la dernière place du classement dans la première partie de saison 2016, avec une monoplace totalement dépassée.