F1 : McLaren et Honda seront-ils prêts pour la première course ?

Eric Boullier, directeur de la compétition chez McLaren, a estimé que la MP4-30 de Fernando Alonso et Jenson Button accusait un retard de 50 % sur son développement. Sera-t-elle prête pour l'Australie ? Pas à 100 %...
Le mariage entre McLaren et Honda, qui avait tant marché par le passé, est en train de prendre des allures de cauchemar à quelques jours du début de la saison 2015. Avec 79 tours à Jerez et 104, pour le moment à Barcelone, la MP4-30 n’a pas beaucoup roulé aux essais hivernaux et la dernière séance sera sans doute déterminante en vue de la préparation pour l’Australie, dont le départ est prévu le 15 mars prochain. Naturellement, Eric Boullier, directeur de la compétition, n’a pas masqué son inquiétude.
50 % de retard
Les pépins sur le bloc V6 Honda, notamment paralysé par une unité de puissance déficiente, s’accumulent et perturbent les essais de Fernando Alonso et Jenson Button, prometteuse paire de pilotes Champions du Monde capables de bien régler la voiture. Sauf que l’Espagnol et l’Anglais n’ont pas encore eu l’occasion de rouler suffisamment et Eric Boullier estime que le retard pris sur le programme est de 50 %, "Nous avons peut-être fait 50% de ce que nous voulions faire”.
Inquiet pour l’Australie
Le Français, qui a évolué sous les couleurs de Lotus, ne se fait pas d’illusion pour l’Australie, "Nous avions douze jours pour nous préparer, donc si nous en manquons la moitié, il va de soi que nous ne serons pas prêts à 100% pour le premier Grand Prix de la saison. Donc, en ce qui concerne notre programme de développement, nous accusons un retard de 50% par rapport à ce que nous avions prévu.” A priori, McLaren misera tout sur la dernière séance d’essais, prévue le week-end prochain, toujours à Montmelo.
Objectif données
Avant de penser à se battre aux avant-postes, McLaren va d’abord se pencher sur la fiabilité, chose qui lui fait défaut à l’heure actuelle. En sept jours d’essais, la MP4-30 n’a parcouru, au maximum, que 59 tours. C’était vendredi avec Fernando Alonso au volant. Face à cette situation, Eric Bouillier a donc rappelé l’objectif actuel, "Nous ne visons pas la performance. Nous avons de nombreux systèmes à vérifier. Nous devons accumuler les kilomètres, recueillir des données, avant de commencer à nous concentrer sur la performance.” McLaren et Honda savaient sans doute dans quoi ils s’embarquaient, mais ils ne s’attendaient probablement pas à de tels problèmes.
50 % de retard
Les pépins sur le bloc V6 Honda, notamment paralysé par une unité de puissance déficiente, s’accumulent et perturbent les essais de Fernando Alonso et Jenson Button, prometteuse paire de pilotes Champions du Monde capables de bien régler la voiture. Sauf que l’Espagnol et l’Anglais n’ont pas encore eu l’occasion de rouler suffisamment et Eric Boullier estime que le retard pris sur le programme est de 50 %, "Nous avons peut-être fait 50% de ce que nous voulions faire”.
Inquiet pour l’Australie
Le Français, qui a évolué sous les couleurs de Lotus, ne se fait pas d’illusion pour l’Australie, "Nous avions douze jours pour nous préparer, donc si nous en manquons la moitié, il va de soi que nous ne serons pas prêts à 100% pour le premier Grand Prix de la saison. Donc, en ce qui concerne notre programme de développement, nous accusons un retard de 50% par rapport à ce que nous avions prévu.” A priori, McLaren misera tout sur la dernière séance d’essais, prévue le week-end prochain, toujours à Montmelo.
Objectif données
Avant de penser à se battre aux avant-postes, McLaren va d’abord se pencher sur la fiabilité, chose qui lui fait défaut à l’heure actuelle. En sept jours d’essais, la MP4-30 n’a parcouru, au maximum, que 59 tours. C’était vendredi avec Fernando Alonso au volant. Face à cette situation, Eric Bouillier a donc rappelé l’objectif actuel, "Nous ne visons pas la performance. Nous avons de nombreux systèmes à vérifier. Nous devons accumuler les kilomètres, recueillir des données, avant de commencer à nous concentrer sur la performance.” McLaren et Honda savaient sans doute dans quoi ils s’embarquaient, mais ils ne s’attendaient probablement pas à de tels problèmes.