La nouvelle Audi TT RS 2016 à l’essai
La marque aux quatre anneaux n’a pas joué la carte de la timidité pour la dernièreTT RS. Avec un rugissement exaltant, un tout nouveau moteur, et une gueule toujours plus agressive.
Au diable, le downsizing !
Oui, les vraies sportives au caractère bien trempé existent encore. A l’heure où la tendance consiste à créer des bolides toujours plus lisses – question d'écologie, évidemment -, la firme allemande a répliqué avec la TT RS qui, elle, et contrairement à beaucoup d’autres, s’est encore munie d’un 5 cylindres capable de délivrer 400 chevaux.
Et vous constaterez par vous-même, grâce à l’essai de Jean-Pierre Gagick, que renier le downsizing fait encore de belles différences.
Dans NoLimit #Automoto, @jpgagick essaie l#39;#Audi TT RS au son du 5 cylindres magnifique,pas si extrême qu#39;une M2, mais déclinée en cabriolet pic.twitter.com/gCuI6OBPSi
dash; Automoto (@automoto_TF1) 9 octobre 2016
Tout pour le chrono
Surtout quand il s’agit d’un bolide aussi racé que TT RS, avec son imposante calandre en nid d’abeilles, et la fameuse signature quattro… Avec un habitacle et une sellerie toujours impeccables, l’impression globale est encore des plus convaincantes. Et elle le reste lorsque le bouton de mise en marche –similaire à celui de la R8- fait rugir, de façon envoûtante, le 2,5 litres TFSI. Son accélération permet d’avaler le 0 à 100 km/h en 3,7 secondes.
C’est à peine 5 dixièmes de plus que la R8, pourtant 140 chevaux plus puissante. Sa transmission intégrale en fait une véritable voiture de circuit. Pour aller chercher le chrono. Un peu moins pour l’amusement. Jugez par vous-mêmes.