Il permet de conduire même si nous n'avons plus de point sur le vrai permis. Supprimé en 2003, le conseil d'Etat vient pourtant d'accorder à une vingtaine de personnes une autorisation, malgré la suspension de leur permis.
Patrick Yllouz, avocat de l'association 40 millions d'automobilistes : « Le principe, ce n'est pas de restituer le permis à toutes les personnes mais de restituer aux personnes qui ont commis de petits excès de vitesse. Ils n'ont pas commis d'infraction grave et répété. C'est la jurisprudence du conseil d'Etat.
Ce matin, les avocats spécialiste du code de la route n'étaient pas tous d'accord avec l'interprétation de cette association. Selon certains, ce type d'aménagement aurait toujours existé. Un arrêt qui donne en tout cas un peu d'espoir aux chauffeurs de taxi.