La somnolence au volant, un risque sous-évalué

La somnolence au volant, un risque sous-évalué
Prendre le volant nécessite d'être en pleine forme. Dans le cas contraire, la conduite devient dangereuse à la fois pour soi et pour les autres. La somnolence est la cause d'un accident mortel sur trois sur autoroute.

La somnolence au volant est un risque contre lequel on peut difficilement lutter.

Des signes avant-coureurs
Au volant, la somnolence a plusieurs conséquences. Le champ visuel se réduit, les paupières sont lourdes, on baille souvent. On souffre également de moments d'absence, ou d'endormissements passagers. Sans compter une envie constante de gigoter, de changer fréquemment de position. Tous ces signes avant-coureurs servent de signaux d'alerte pour le conducteur.

Conséquences dramatiques
La somnolence au volant entraîne forcément des risques, aussi bien pour le conducteur, ses passagers ou son environnement. Conserver sa trajectoire devient difficile, et les réactions deviennent plus lentes, moins maitrisées, ce qui empêche de réagir de manière adéquate lorsqu'un danger se présente sur la route.

Une solution simple : le sommeil
En cas de signes avant-coureurs, la seule solution, c'est la pause. Car on ne peut pas lutter contre la somnolence. Une fois arrêté, 20 minutes de sommeil permettront de retrouver un meilleur état de forme. De quoi reprendre le volant en sécurité.

La somnolence au volant multiplie par 8 les risques d'accidents de la route.

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