"C'est un discours interne. Après chaque match à son contexte, ses particularités".
"Je ne dis pas toujours la même chose bien évidemment. Je prends toujours deux, trois axes".
"Je ne suis pas allé sur le terrain de la mise en garde : les joueurs savaient qui était en face d'eux et l'ampleur de la tâche. En terme de motivation, de concentration : je n'ai pas trop insisté".
"J'avais un peu plus à le faire face à l'Australie certainement, le Pérou un peu moins, le Danemark aussi. Là en huitième de finale face à l'Argentine, c'est plus naturel".