L'aventure Robinson - Vincent Lagaf' : "Vivre sans téléphone est très agréable"

L'aventure Robinson - Vincent Lagaf' : "Vivre sans téléphone est très agréable"
Pour L'aventure Robinson, Vincent Lagaf' a accepté de survivre, pendant cinq jours, dans la jungle aux côtés de l'ancienne Miss France Marine Lorphelin. Une expérience bénéfique pour l'animateur télé.

Le 14 décembre prochain, dès 21 heures sur TF1, Marine Lorphelin et Vincent Lagaf’ débarquent sur vos écrans pour un nouveau numéro de L’aventure Ronbinson. Comme leurs confrères - et anciens aventuriers - Maître Gims et Kendji Girac, Christine Bravo et Amir, l’animateur télé et l’ancienne Miss France ont vécu une aventure hors du commun. Laissés libre comme l’air dans la jungle, les deux sportifs ont dû apprendre à survivre, et ont multiplié les épreuves pour s’en sortir.

L'ancien présentateur du Bigdil, grand amoureux de la nature et de l’aventure, a vécu cette expérience "sans appréhension particulière", raconte-t-il à TF1. S’il a accepté d’y participer, c’est tout d’abord car le concept de l’émission lui plaisait énormément. "L’idée de me retrouver sur une plage pendant cinq jours sans vivres, ni moyens me plaisait. Je ne vivrais pas dans de telles conditions toute l’année mais je me suis beaucoup amusé et je me suis rendu compte de la difficulté vécue par les candidats sur Koh-Lanta", dit-il.

Pour l'aventure, qui a duré cinq jours au total, les deux aventuriers ont dû se séparer de leurs biens personnels, dont leur téléphone portable, un objet devenu presque indispensable dans la vie de tous les jours. Mais cela n'a pas été un handicap pour Vincent Lagaf'. "Passer autant de jours sans téléphone, ni télévision et ordinateur, est très agréable. A la fin de ce genre de tournage, on se dit que l’on va retourner à la vie réelle, j’ai l’impression que l’on devrait plutôt dire : je la quitte !" Doté d’un grand mental et de nature débrouillarde, l’animateur a aimé aller "chercher à manger" et "pêcher seul". L’aventure Robinson a été bénéfique pour Vincent Lagaf qui, à 59 ans, s’est rendu compte "qu’il tenait encore bien la route".




Propos recueillis par Karelle Bourgueil

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