Bayern Munich : Carlo Ancelotti n'est plus l'entraîneur du club !

Troisième de Bundesliga et battu sèchement par le PSG lors de la deuxième journée de C1, le Bayern Munich a décidé de changer d’entraîneur alors que nous ne sommes même pas en octobre ! Le style de jeu et les relations avec le vestiaire seraient les éléments responsables du départ de l'Italien.
Renvoyé après 2 mois de compétition !
Ce jeudi après-midi, les dirigeants des Champions d’Allemagne tenaient une réunion avec Carlo Ancelotti au lendemain de Celle-ci faisait suite à un nul concédé en championnat à domicile contre Wolfsburg, auquel il faut ajouter un match remporté contre Anderlecht en C1, mais avec quelques difficultés dans le jeu.
Visiblement cela était suffisant pour que le Bayern, champion en titre et 3ème de son championnat entre en crise et décide de se séparer de son entraîneur dès la fin de septembre ! Le club en a fait l’annonce ce jeudi, et Willy Sagnol, son adjoint depuis le début de la saison prendra place sur le banc de touche ce dimanche en attendant en attendant qu’une décision soit prise dans les prochains jours pour la suite de la saison.
Breaking: #FCBayern part ways with Carlo Ancelotti.
dash; FC Bayern English (@FCBayernEN) 28 septembre 2017
📰 https://t.co/LVrunD4QmT pic.twitter.com/PoHjLPnh2f
Carlo Ancelotti’s record at Bayern Munich:
dash; Squawka Football (@Squawka) 28 septembre 2017
60 games
156 goals
50 conceded
42 wins
9 draws
9 defeats
2 DFL-Supercups
1 Bundesliga
🤔 pic.twitter.com/aFvvHn0Hkv
Des choix tactiques pointés du doigt
Face au PSG, Carlo Ancelotti a choisi d’aligner Lewandwski, Muller et James Rodriguez sur le front de l’attaque. Ce qui revenait à laisser Franck Ribéry, Kingsley Coman et Arjen Robben sur le banc de touche au coup d’envoi. Même si le trio aligné représentait un réel danger pour le PSG, on peut s'étonner que l'Italien ait choisi de se passer de ses trois joueurs capables de jouer sur les ailes et ainsi de gêner les montées de Dani Alves et Kurzawa mais surtout de déborder et inquiéter la défense parisienne.
Au terme de la rencontre le Néerlandais Arjen Robben refusait même de défendre Carlo Ancelotti en répondant à un journaliste « Sommes-nous derrière Ancelotti ? je ne répondrais pas à cette question » laissant présager un désamour entre le vestiaire et l'entraîneur. Mats Hummels n'était lui non plus pas aligné mercredi contre le PSG, une décision qui en a surpris plus d'un au coup d'envoi.