"A ce moment-là, j'étais détruit, laminé. On est passé à côté de quelque chose, vraiment des abrutis sur ce coup-là. Sincérement. Et je fais partie de ces abrutis."
"Se croire 'arrivé avant', voilà ça c'est fini. Et même si j'en fait subir les conséquences à certains de mes joueurs et encore dernièrement lors de la campagne de qualification à la Russie."
"Il y a un moment pour tout : c'est d'abord atteindre les objectifs et ensuite penser à fêter. Mais penser à fêter avant que ce soit arrivé, ça plus jamais."