La France commence sa campagne ce mardi soir (match
à suivre à 20h45 sur TF1 et en streaming ici). Face à la Biélorussie,
les Bleus devront être « sérieux » selon les mots de Grégoire Margotton dans le
Facebook Live organisé par Frédéric Calenge. « Il faut se dire que l'on n'est plus dans des matchs
amicaux, plus dans une phase finale. On est parti pour deux ans de matches
importants », explique le journaliste.
« Et si ça démarre avec une victoire ici, par rapport à la
composition du groupe et à nos futurs adversaires comme la Suède ou la Bulgarie
ou les Pays-Bas, ce serait un très bon pas », poursuite Grégoire Margotton
alors que les Bleus disputaient leur dernier entraînement à Minsk dans le
Clairefontaine biélorusse. , elle devra se méfier des Biélorusses « athlétiques ». «
La défense centrale mesure 1m92 – 1m93, les latéraux sont très grands et les
milieux de terrain sont aussi athlétiques. Mais comme l’a dit Didier Deschamps,
les Italiens étaient aussi athlétiques », signale le commentateur.
« J’ai peur des premières minutes, du passé car, les
dernières rencontres ont montré que ce n’était pas facile comme en 2012 lors du
premier match de Laurent Blanc », souligne Grégoire Margotton. À cette époque,
les Bleus s’étaient inclinés au Stade de France (0-1) avec une équipe remaniée.
Si l’ancien Gunner Hleb, n’est plus là, cette équipe biélorusse est portée par
l’ancien joueur du FC Metz, Sergueï Krivets.
Quant à la composition d’équipe, plusieurs incertitudes planent. 4-3-3 ou 4-2-3-1 ? Payet ou Martial ? Kanté ou Matuidi ? « Je vais me mouiller, je vais dire un 4-2-3-1, ou plutôt un 4-2-2 comme le définit Deschamps puisque Griezmann devient le deuxième attaquant. Payet pourrait jouer et Pogba serait positionné à gauche », parie Frédéric Calenge. Réponse ce soir à 20h45 sur TF1 !