Après une saison pleinement réussie à l’AS Saint-Etienne – 17 buts en Ligue 1 – Max-Alain Gradel a vécu un été mouvementé. Il est quasiment allé au bras de fer avec le club du Forez pour s’engager à Bournemouth. Auteur de bonnes prestations, son début d’exercice en Angleterre a tourné au vinaigre. Après quatre matches disputés, il a été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou le 29 août face à Leicester. S’il ratera les six prochains mois de championnat, cela pourrait bien être dû à une affaire de sorcellerie.
Selon un journal ivoirien, Select Magazine, Max-Alain Gradel aurait été victime de sorcellerie. Le joueur aurait été « puni par sa famille pour les avoir abandonnés au profit de son agent, Francis Kacou. » Ils agiraient donc spirituellement contre l’ancien de l’ASSE. Déjà victime de la même blessure en 2013, Gradel était revenu encore plus fort dans le Forez. Un regain de forme causé par son rapprochement avec sa famille, et notamment sa sœur Déborah Gradel, selon le magazine ivoirien, relayé par EXCLUSIVE: The family of soccer star Max Gradel claim he was KO’d by dark juju magic http://t.co/cBQ5rQklSy pic.twitter.com/KrjD7hRm6O
Interrogée par Select Magazine, la sœur de Max-Alain Gradel, Déborah, est revenue sur cette folle histoire. Pour elle, son frère n’est pas victime de vaudou : « Je ne pense pas que Max ait été envoûté ou soit victime de maraboutage. Si mon frère doit continuer à jouer, ce sera la volonté de Dieu. »
Début septembre, The Sun avait mené l’enquête sur les footballeurs et les marabouts en Afrique. Certains joueurs de Premier League n’hésiteraient ainsi pas à aller voir des « Hommes juju » afin d’opérer d’étranges rituels, dans le but d’améliorer leurs qualités, ou de briser la malédiction d’une blessure. Adebayor avait par exemple accusé sa famille de sorcellerie .