"Je l'ai toujours dit, je fonctionne aussi comme ça, je sais qu'il y a beaucoup d'attente, gros, petit ou moyen match."
"On attend de moi que je sois décisif, je me mets moi-même la pression."
"Ça fait bizarre de le voir dans le camp d'en-face. Il y a quelques mois on recevait Lyon (défaite 3-0) et vu sa causerie sur les joueurs lyonnais, les supporters lyonnais et le président lyonnais, ça fait bizarre qu'il ait postulé pour ce club-là. Mais il y est, il a eu raison."
"Je ne vais pas rentrer dans le détail, je vais juste dire que je n'aimerais pas qu'il parle de nous comme ça. On garde ça dans un coin de notre tête, mais il ne faut pas déjouer."
"Mitigé. Je n'oublie pas l'année de la coupe d'Europe (l'OM a perdu en finale de la Ligue Europa 2018 contre l'Atlético de Madrid), mais derrière on a eu une année assez difficile. Nos rapports se sont détériorés et ça je ne l'oublie pas non plus."
"Je ne sais pas trop comment le dire, mais on a eu des moments plutôt une communication qui ne passait plus, des prises de tête... Mais je parle de mon cas personnel, j'ai un caractère assez difficile, aussi. On ne s'est pas séparés en bons termes."
"Ce sont deux façons différentes de voir le football. Avec le nouveau coach l'entraînement est basé sur beaucoup de ballon, de jeu, avoir la possession, attaquer, presser haut, récupérer au plus vite quand on n'a pas le ballon..."
"La différence la plus flagrante est qu'aujourd'hui on a un coach qui parle avec son cœur, qui dit les choses, qui parle français. Il n'essaie pas de faire de la langue de bois, il répond aux questions sur les sujets sensibles et ça fait du bien."