Mikel Arteta victime de la colère de Messi

L’info à fait le tour de la planète foot mardi soir après la
rencontre entre Manchester City et le FC Barcelone, Lionel Messi aurait eu un
gros coup de sang dans les couloirs de l’Etihad Stadium. Si les raisons étaient
alors opaques, les langues se sont depuis déliées autour de cette affaire.
Ce serait bien la réaction de joie des citizens après leur
succès 3-1, jugée excessive et déplacée par le quintuple Ballon d’Or qui aurait
mis le feu aux poudres.
Mikel Arteta pris pour cible
On en sait un peu plus sur l#39;altercation qui s#39;est déroulée à la fin du match entre Manchester City et Barcelone... https://t.co/d7YkTJDP6V
dash; 7sur7 (@7sur7) 3 novembre 2016
En effet, des images de la
Sexta, une chaîne de télévision espagnole, montrent l’attaquant argentin s’étonner devant la joie démonstrative
des skyblues, s‘écriant à la cantonade : « C’est quoi ce bordel ?
Ils ont gagné la Ligue des Champions ou quoi ? » avant de s’en
prendre plus personnellement à l’entraîneur adjoint du club, l’espagnol Mikel
Arteta.
C’est bien l’ancien joueur du Paris Saint-Germain qui aurait
alors cristallisé les reproches du meneur du Barça qui l’a pris à partie. « Rentre
dans ton vestiaire pour faire la fête. Ne fais pas ça ici » lui a-t-il
lancé avant d’en rajouter une fois que le basque ait finalement rejoint les
vestiaires : « Idiot, viens ici et montre ton visage. Ne te cache pas. »
Une réaction inhabituelle pour l’argentin
Une agressivité finalement calmé pour son compatriote et
coéquipier sous le maillot Albiceleste Sergio Agüero. Le buteur de City s’est
interposé, empêchant Messi d’aller plus loin. Il a ensuite brièvement commenté l’affaire
devant les médias : « Quand vous perdez, vous n’êtes pas
très heureux. Je l’ai vu là et il se sentait mal. Je le connais suffisamment
pour savoir quand il ne va pas bien. Mais quand vous perdez, ça ne va jamais
bien ».
Une attitude peu fair-play et surprenante de la part du
capitaine de la sélection argentine qui l’on a rarement vu perdre son calme. Si
certains s’assagissent avec les années, ça ne semble pas être le cas de la
Pulga…