On ne tourne pas rond à l’Olympique de Marseille. Deux semaines après la nomination de Rudi Garcia à la tête du club phocéen, consécutive à la prise de pouvoir de Franck Mc Court comme actionnaire majoritaire, , ce qui est obligatoire.
La raison de cette situation assez ubuesque est toute simple : l’OM n’a toujours pas résilié le contrat de son prédécesseur, Franck Passi, et le règlement de la LFP stipule (Article 653, alinéa 1de la Charte du football professionnel) qu'un club professionnel ne peut pas avoir deux entraîneurs.
Le Parisien souligne lui que le club phocéen ne compte pas se séparer de l’ancien adjoint de Michel Gonzalez et souhaite lui donner un nouveau poste au sein de l’organigramme. Une version démentie au journal par un proche du technicien. « Franck a été à la tête de l'équipe pendant six mois et il n'est pas question pour lui d'envisager d'autres fonctions à l'OM que celle d'entraîneur principal. »
Le périodique souligne également que Franck Passi a fait appel aux services de Maître Carlo Alberto Brusa afin de recevoir des indemnités de licenciement.
Un Olympique de Marseille à deux têtes https://t.co/oUo6a2ywGp
dash; Le Parisien - Sports (@LeParisienSport) 7 novembre 2016