C’est une information qui risque de donner mal à la tête à de
nombreux supporters bastiais qui voient aujourd’hui leur club lutter pour sa
survie en Ligue 1. Selon les mémoires d’un ancien joueur et responsable du
club, le SCB serait passé à côté de deux des meilleurs joueurs du 21ème
siècle !
Dans son livre « Légendes du SCB » qui sort actuellement,
Jo Bonavita, ancien joueur et
responsable de la coordination et de la logistique sportive du Sporting Club de
Bastia, a livré quelques anecdotes croustillantes dont il a été le témoin
durant son passage au club. Parmi elles, deux histoires de transferts avortés
devraient tout particulièrement attirer l’attention des supporters du club
corse.
En effet, à l’été 2002, le club n’aurait pas saisi l’occasion de
faire signer deux jeunes cracks du football pour des montants pourtant
dérisoires. Le nom de ces jeunes pousses ? Cristiano Ronaldo et Franck
Ribéry !
[#L1🇫🇷] Jo Bonavita a révélé que le SC Bastia a failli recruter Cristiano Ronaldo et Franck Ribéry en 2002... pic.twitter.com/mbj4kyxcxs
dash; Footballogue (@Footballogue) 16 décembre 2016
Au cours d’une rencontre amicale contre le Sporting Portugal, les
dirigeants Bastiais se seraient ainsi vu proposer le jeune Cristiano de 16 qui
souhaitait alors jouer en première division française. Son club n’en demandait que 800 00
€ mais l’investissement pour un joueur alors complètement inconnu effraie les
décideurs qui décident de ne pas donner suite à la proposition. Quelques
semaines plus tard, le jeune homme sera repéré par Alex Ferguson et rejoindra
Manchester United.
Décidément peu inspirés cette saison, les dirigeants bastiais n’auraient
également pas voulu débourser les 2 500 € nécessaires à la venue d’un
joueur de National évoluant à Martigues, Franck Ribéry. Rencardé par un de ces
amis, Jo Bonavita aurait pourtant recommandé le joueur à l’entraîneur de l’époque
Gérard Gili qui faute de place au milieu de terrain n’en aurait pas voulu.
Si ces informations s’avéraient exactes, il est peu de dire que
les principaux intéressés ont du s’en mordre les doigts.