Les Mystères de l'amour - Hélène Rolles et Patrick Puydebat : "On se connait par coeur"

Ca y est, vos personnages
se marient près de 20 ans après leur rencontre. Comment avez-vous réagi lorsque vous avez
appris la nouvelle ?
Nicolas : On s’est dit : "Ca y est, c’est la
fin de la série, la boucle est bouclée". (Rires) Non, mais c’est la suite
logique… Reste à savoir si Nicolas va faire un pas vers la stabilité, la
maturité ? Hélène, c’est censé être le nirvana de la relation amoureuse.
Au fond de moi, j’espère qu’il va persévérer dans ses erreurs pour qu’il y ait
toujours autant de rebondissements.
Hélène : La relation Hélène – Nicolas, c’est le fil
rouge depuis des années. On espère juste qu’il va continuer à y avoir tout un
tas de rebondissements… Le tournage était vraiment sympa. On est revenu à Love
Island (aux Antilles) où on a passé six ans. Le cadre est splendide. Et puis, c’est
un peu notre deuxième maison. Pour la petite anecdote, j’ai pris une robe
plutôt légère pour éviter d’avoir trop chaud. Je sais ce que c’est de passer toute
une journée de tournage en robe de mariée…
Pour l'occasion, vous accueillez des
guest : Vincent Queijo, Princess Erika, Eve Angeli. Heureux de voir de nouvelles têtes ?
Nicolas : Je trouve ça rafraîchissant. On fait notre maximum pour les accueillir dans les
meilleures conditions possibles. Je sais que ce n’est pas toujours simple d’entrer
dans un groupe surtout une équipe aussi soudée que la nôtre.
Après tout ce temps,
qu’est-ce qui vous fait craquer / énerve chez le personnage de votre petit
camarade ?
Hélène : La fidélité et l’infidélité de Nicolas.
Nicolas : Hélène est gentille, altruiste, généreuse… En
revanche, je la trouve trop indulgente. Elle pardonne tout. Finalement, ses
qualités et ses défauts reviennent au même.
Que retenez-vous de
toutes ces années de tournage ?
Nicolas : On bosse en famille. On a tous traversé des
moments difficiles. On se connait par cœur. On sait que l’on peut compter sur
les uns les autres. C’est un confort humain et personnel. Il est d’ailleurs
fréquent que l’on s’appelle par nos prénoms en plein milieu d’une scène. On est
aussi potes dans la vie qu’à l’écran. C’est pour ça que tout semble aussi
naturel entre nous.
Hélène : On a
dépassé le cadre du travail. Je sais que je peux appeler les autres jours et
nuits.
N’avez-vous pas gardé
une part d’adolescence en vous, même après tout ce temps ?
Hélène : On est tous de grands adolescents, non ?
Je trouve ça triste de vieillir. Il ne faut jamais oublier que l’on a été un
enfant.