19h30 Médias - Médiamètre : Valérie Pécresse peut-elle rebondir à deux mois du premier tour ?
Rien ne va plus pour Valérie Pécresse. Manque de clarté, défections au sein du parti, critiques en coulisses, meeting raté… Il y a quelques semaines encore, tous les sondages la plaçaient au second tour de la présidentielle face à Emmanuel Macron. Aujourd’hui, l’avenir n’est plus si rose pour la candidate LR. Valérie Pécresse a-t-elle encore un avenir dans cette campagne présidentielle ? A-t-elle eu raison de faire référence à la théorie du grand remplacement ? Que peut-elle faire pour redresser la barre ? Pour y répondre, Julien Bellver fait appel cette semaine dans le Médiamétre à Jacques Paugam du Point, Tâm Tran Huy de Public Sénat et Laetitia Krupa de France Info.
Depuis une semaine, une question brûle toutes les lèvres : d’où vient la grande table du dirigeant russe, devenue une star internationale lors de la rencontre Macron-Poutine ? Question simple, réponse moins évidente. Pour cause, Italiens et Espagnols se disputent ses origines. Si les premiers sont persuadés de ses racines italiennes, les seconds affirment avoir retrouvé le fabricant de la célèbre table à Valence. Avis à tous les Sherlock, l’enquête – de très haute importance - n’en est qu’à ses débuts…
Le fils de la reine a passé un accord entre sept et douze millions de livres sterling avec la femme qui l’accusait de viol. Il échappe ainsi au procès, qui devait avoir lieu aux Etats-Unis en automne. Virginia Giuffre, une Américaine de 38 ans, accusait le prince Andrew de l’avoir agressée sexuellement en 2001 alors qu’elle était mineure. Le scandale est d’autant plus gros que Virgina Giuffre est aussi l’une des victimes du milliardaire américain Jeffrey Epstein et de sa compagne Ghislaine Maxwell, tous deux connaissances du prince et condamnés pour trafic sexuel. Ce type d’accord, fréquent aux Etats-Unis, l’est beaucoup moins au Royaume-Uni où il a choqué. Les Britanniques s’interrogent : qui va payer les millions d’euros ? La reine pourrait mettre la main à la poche pour aider son fils.
Ils auront tout essayé… Pour faire fuir les manifestants antivax, campés devant le Parlement, les autorités néo-zélandaises ont décidé de les torturer musicalement. De la Macarena à James Blunt, ils ont diffusé en boucle les pires horreurs musicales. Une idée de génie du président du Parlement qui n’a pourtant pas fait céder les manifestants, loin de là. Ils ont fini même la journée par un petit haka.
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