Arrêtons de culpabiliser les malades de la variole du singe
Cet été, alors que les vacances auraient dû être l’occasion de faire la fête, de faire des rencontres et plus si affinités, le « MonkeyPox » (la variole du singe en français) a jeté un froid. La maladie, très contagieuse et déjà très répandue en Europe, touche essentiellement les hommes qui ont des rapports avec d’autres hommes. Résultat, on a vu tout l’été une vague de culpabilisation des personnes à risque.
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