La zone Mazaurette : et si face aux restrictions, on se libérait en se mettant nu ?
L’écriture inclusive va-t-elle enfin plaire aux plus conservateurs ? Rejetée d’emblée par l’Académie française qui y voit un « péril mortel » - rien que ça – elle pourrait finalement trouver grâce aux yeux des plus réticents grâce à un étudiant genevois qui a développé une méthode toute simple pour mieux s’y retrouver.
Et si on libère la langue, on parle aussi de reconfiner les gens. Face à la propagation de l’épidémie de coronavirus en France, va-t-on tous se retrouver coincé chez soi ? Il se trouve que pour beaucoup, justement, l’enfermement constitue une énorme angoisse. On parle alors de claustrophobie. Ce qu’on sait moins, c’est qu’il existe aussi la « claustrophilie », soit le fait d’aimer être enfermé dans de petits espaces clos. Ça vaut pour les caissons sensoriels, les Escape Game, les ascenseurs et aussi, evidemment, les pratiques sexuelles de type bondage, cagoules, etc etc. Bref, il en faut pour tous les goûts.
Et si vraiment l’enfermement vous pose problème, Maïa Mazaurette a une astuce pour se sentir plus libre : se mettre tout nu. Eh oui, parce que le nudisme casse les codes et les préjugés liés au look, à la classe sociale, il peut être un formidable vecteur de libération. Ça ne coûte rien d’essayer.
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4m50
27 oct. 2020 à 20:00