Quotidien, première partie du 5 septembre 2018

Retrouvez l’intégralité de la première partie de Quotidien du 5 septembre. Yann Barthès, Paul Larrouturou, Salhia Brakhlia, Lilia Hassaine, Azzeddine Ahmed-Chaouch et Julien Bellver décryptent l’actu. Affaire Benalla, prélèvement à la source, piscine présidentielle, … L’été aura été particulièrement chaud pour Emmanuel Macron. A la clé, c’est toute une stratégie de communication qu’il faut revoir pour l’Élysée. Cette refonte a commencé, ce mercredi 5 septembre, avec l’annonce du départ du porte-parole du palais, Bruno Roger-Petit. Paul Larrouturou décrypte le changement de cap de la communication de l’Élysée. Laurent Wauquiez avait-il le droit d’envoyer un texto aux 190 000 lycéens de sa région ? La CNIL a été saisie de la question après que le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes ait utilisé le fichier du « Pass Région » - qui offre des avantages aux 15-25 ans – pour récupérer les numéros des lycéens afin de leur envoyer un message de rentrée. Salhia Brakhlia décrypte la polémique dans son « Moment de Vérité ». C’est un Nicolas Hulot très ému, au bord des larmes, qui a quitté son ministère de la Transition écologique et solidaire le 4 septembre. Avant lui, de nombreux autres politiques ont craqué face caméra : de Valérie Giscard d’Estaing à Ségolène Royal, en passant par Alain Juppé et Barack Obama. Pour son « Zoom » Lilia Hassaine revient sur ces moments forts de la vie politique. C’est le gros sujet de cette rentrée politique : le prélèvement à la source. Sera-t-il mis en place, reporté, ajourné même ? Edouard Philippe a tranché, mardi soir au JT de TF1 : le PAS sera bien effectif au 1er janvier 2019, comme prévu. Julien Bellver nous débriefe le gros flop des audiences pour le Premier ministre tandis qu’Azzeddine Ahmed-Chaouch revient sur celui qui a sauvé sa tête dans toute cette cacophonie : le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin. Quant à Yann Barthès, il revient sur l’origine de cette loi sur le prélèvement à la source qui remonte, déjà, à… 1973.