Quotidien, première partie du 7 novembre 2018
Retrouvez l’intégralité du replay de la première partie de Quotidien du 07 novembre. On parle de la fronde « anti-gilets jaunes » avec Salhia Brakhlia, des stickers « I voted » pour les midterms avec Lilia Hassaine, d’un vétéran pas très ouvert avec Yann Barthès, on revit la soirée électorale à New York avec Azzeddine Ahmed-Chaouch, on débriefe le traitement médiatique des midterms avec Julien Bellver et de la saison de Noël avec Etienne Carbonnier.
À Charleville Mézières, Emmanuel Macron a salué le « grand soldat » que fut le maréchal Pétain… avant ses « décisions funestes » pour la France en 39-45. Ils n’avaient pas dit, au gouvernement, qu’il « n’a jamais été question » de lui rendre hommage ?
Pour lutter contre la hausse annoncée du carburant, plusieurs mouvements de protestations ont décidé de se réunir en une grande mobilisation le 17 novembre prochain. Pourtant, un autre appel commence à prendre de l'ampleur sur les réseaux sociaux, un appel qui va complètement à l'encontre de la mobilisation du 17 novembre. On en parle avec Salhia Brakhlia pour son Moment de vérité.
À New York, des dizaines et des dizaines de femmes ont fait la queue pour pouvoir coller leur sticker « I voted » (j’ai voté) sur la tombe d’une certaine Susan B. Anthony. Cette femme, c’est une militante féministe américaine qui s’est battue au 19ème siècle pour que les femmes aient le droit… de faire du vélo. On en parle avec Lilia Hassaine dans son « Zoom ».
Azzeddine Ahmed-Chaouch était à New York pour suivre la soirée électorale des midterms. Il a passé la soirée avec Max Rose, un candidat démocrate. A 31 ans, cet ancien soldat envoyé en Afghanistan est parvenu à réaliser un petit exploit : il a réussi à rafler aux Républicains le seul district qu’ils avaient réussi à obtenir à New York.
Mardi 6 novembre, toutes les chaînes de télé américaines étaient sur le pied de guerre pour suivre les résultats des midterms. Julien Bellver décrypte leurs dispositifs spéciaux.
Pour son Mercredi Canap, Etienne Carbonnier s’est intéressé aux journalistes qui croient encore au Père Noël et aux cadeaux qu’ils allaient lui commander.
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