Quotidien, première partie du 25 novembre 2020
Au sommaire du replay de la première partie de Quotidien du 25 novembre : on revient avec Julien Bellver sur « l’isolement contraint » des malades envisagé par Emmanuel Macron pour le déconfinement, Lilia Hassaine nous montre comment la publicité s’adapte aux crises, même sanitaires, dans son Zoom, Ambre Chalumeau nous parle des désormais cultes albums de Noël dans sa Bridage des Affaires Culturelles, Paul Larrouturou enquête sur la glottophobie et Maïa Mazaurette nous parle de l’effet Tik Tok, autrefois appelé l’effet « Dirty Dancing ».
Depuis des mois, le leitmotiv du gouvernement a été de « tester, tracer, isoler ». Au cours de son allocution, Emmanuel Macron a fait sauter le mot « isoler » pour lui préférer « protéger ». En creux, c’est en réalité la même chose : il est toujours question d’isoler les malades, même s’ils ne sont pas d’accord. Cet isolement contraint, l’opposition n’en voudra peut-être pas, d’autant que la possibilité d’éloigner les malades de leur domicile le temps de leur guérison existe déjà, depuis avril. On en parle avec Julien Bellver dans son 19h30 Médias.
Pendant le premier confinement, on avait vu fleurir des pubs recentrées sur la famille, la maison, les moyens de garder le contact malgré l’éloignement etc… Depuis, la publicité a pris un virage nettement plus politique. Avec le deuxième confinement, de nombreuses marques ont décidé d’attaquer frontalement le gouvernement, notamment sur la question des produits dits « non-essentiels ». A l’inverse, certaines marques ont décidé de jouer à fond la carte solidaire. Et ce n’est pas nouveau : la publicité a toujours su s’adapter aux crises. On en parle avec Lilia Hassaine dans son Zoom.
La glottophobie, le fait de discriminer, de moquer un accent, devient un sujet politique. Depuis sa nomination à Matignon, Jean Castex en est la première victime, mais il n’est pas le seul : 30 millions de Français ont un accent et 17 millions d’entre eux se sont déjà sentis discriminés pour cette raison. Pour en parler, Paul Larrouturou est parti à la rencontre de deux élus du Sud-ouest, Alain Perea et Annie Chapelier.
C’est officiel : on va pouvoir fêter Noël ! Impossible donc de passer à côté des traditionnelles chansons de Noël, devenues une véritable institution au fil du temps. A l’origine, ce sont les Américains qui les ont rendues populaires au moment de la Grande Dépréssion et de la Seconde Guerre mondiale. Avant que le phénomène ne gagne le monde entier. On en parle avec Ambre Chalumeau.
Avec l’explosion de Tik Tok et de ses défis, la danse n’a jamais été plus présente, surtout chez les jeunes. Et surtout chez les jeunes femmes.
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