Toutes ces petites choses qui nous manquent dans les voyages en avion
Jean Castex l’a annoncé ce week-end : toute entrée en France et toute sortie du territoire est désormais interdite. Ça nous a fait quelque chose. Tellement qu’on en est devenus nostalgiques. Nostalgique du voyage, de l’avion. Nostalgiques au point de fantasmer sur les pubs pour les compagnies aériennes. Alors qu’on sait que les sièges des avions ne sont pas SI confortables que ça, que personne ne viendra vous border dans votre lit de 1ère classe ++, que les enfants ne sont pas aussi sages que veulent nous le faire croire les pubs et que le personnel ne passe pas son temps avec un sourire gigantesque scotché sur le visage.
Pourtant, ça nous manque l’avion. De se croiser, de se re-croiser, de se re-re-re-croiser. D’enlever ses chaussures, de boire son jus de tomates qu’on ne boit que dans l’avion, de manger son poulet tiède sur sa petite tablette, de faire la queue au Duty-free, de paniquer sans raison aux contrôles de sécurité, d’attendre son bagage qui est toujours le dernier sur le tapis, la cohue à la descente de l’avion, le bruit des portières qui s’ouvrent. Ça nous manque, l’arrivée dans un nouveau pays, loin de chez nous, de découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles personnes.
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