Violences policières, racisme : les anti-racistes ont du mal à s’entendre

Dans la guerre contre le racisme, tous les acteurs ne parlent pas d’une même voix. À Paris le 2 juin, c’est à l’appel du collectif en soutien à Adama Traoré que s’étaient réunis 20 000 personnes. Quelques jours plus tard, autre manifestation, autre association : cette fois, c’était au tour de SOS Racisme d’appeler à descendre dans la rue. Sur le front de cette contre le racisme et les violences policières, même les anti-racistes ont du mal à s’entendre.